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Après le succès éclatant de la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), qui s’est tenue du 22 février au 1ᵉʳ mars dernier, l’événement prend ses quartiers à Bobo-Dioulasso du 20 au 23 mars 2025. Cette déclinaison du festival, conçue sous un format plus condensé, vise à offrir au public bobolais une immersion dans la richesse et la diversité du cinéma africain.
C’est dans l’après-midi du jeudi 20 mars que s’est déroulée la cérémonie inaugurale de ce Mini FESPACO, placée sous la présidence du ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Gilbert Ouédraogo. Ce rendez-vous culturel de premier plan s’inscrit dans la volonté des autorités de démocratiser l’accès au 7ᵉ art en dehors de la capitale, tout en valorisant les productions cinématographiques du continent.
Une programmation de prestige
Durant ces quatre jours de célébration du cinéma africain, les cinéphiles et les professionnels du secteur auront l’occasion de découvrir des œuvres d’exception, soigneusement sélectionnées parmi les films en compétition lors de l’édition 2025 du FESPACO. À l’affiche, des productions primées, notamment Katanga, la danse des scorpions de Dani Kouyaté, lauréat de l’Étalon d’or de Yennenga.
Une trentaine de films seront projetés dans plusieurs espaces emblématiques de Bobo-Dioulasso, notamment la Maison de la culture Monseigneur Anselme Titianma Sanon, le Ciné Sayon et l’espace Morène. Ces séances seront enrichies par des rencontres et des échanges avec des réalisateurs, des acteurs et d’autres professionnels du secteur.
Au-delà des projections, cet événement propose également des ateliers et des discussions techniques permettant aux cinéastes, aux critiques et aux passionnés du cinéma de partager leurs expériences et d’approfondir leur compréhension des enjeux actuels du 7ᵉ art africain. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de professionnalisation et de valorisation du savoir-faire des talents locaux et continentaux.
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Ainsi, en étendant son rayonnement à Bobo-Dioulasso, le FESPACO renforce son ancrage dans le paysage culturel burkinabè et affirme, une fois de plus, son rôle de vitrine incontournable du cinéma africain.
Durant ces quatre jours de célébration du cinéma africain, les cinéphiles et les professionnels du secteur auront l’occasion de découvrir des œuvres d’exception, soigneusement sélectionnées parmi les films en compétition lors de l’édition 2025 du FESPACO. À l’affiche, des productions primées, notamment Katanga, la danse des scorpions de Dani Kouyaté, lauréat de l’Étalon d’or de Yennenga.
Une trentaine de films seront projetés dans plusieurs espaces emblématiques de Bobo-Dioulasso, notamment la Maison de la culture Monseigneur Anselme Titianma Sanon, le Ciné Sayon et l’espace Morène. Ces séances seront enrichies par des rencontres et des échanges avec des réalisateurs, des acteurs et d’autres professionnels du secteur.
Au-delà des projections, cet événement propose également des ateliers et des discussions techniques permettant aux cinéastes, aux critiques et aux passionnés du cinéma de partager leurs expériences et d’approfondir leur compréhension des enjeux actuels du 7ᵉ art africain. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de professionnalisation et de valorisation du savoir-faire des talents locaux et continentaux.
Ainsi, en étendant son rayonnement à Bobo-Dioulasso, le FESPACO renforce son ancrage dans le paysage culturel burkinabè et affirme, une fois de plus, son rôle de vitrine incontournable du cinéma africain.
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